Le programme phare de Disney+ The Mandalorian (notre critique) n’a pas que pour invention d’être la première série live Star Wars mais met en oeuvre des techniques d’effets spéciaux inédits !
Chaque opus de Star Wars faits par George Lucas était une révolution technique. Un nouvel espoir en 1977 avait inventé une grue motorisé travelling ainsi qu’une caméra nommée Dykstraflex, contrôlée par ordinateur qui permettait de filmer des maquettes immobiles sur fond bleu. En reproduisant des mouvements aux dixièmes de millimètre près, la caméra dansait autour des astronefs et donnait fifty’illusion que les vaisseaux virevoltaient dans l’espace. Une prouesse technique qui lui valu fifty’Oscar. Pour le Retour du Jedi, Lucas réinventait le boy cinéma en augmentant le nombre de haut parleur dans les salles tandis que fifty’Attaque des Clones devenait en 2002 le premier cinema américain (et le deuxième mondial) à être entièrement tourné en numérique.
Cependant suite au rachat de Lucasfilm par Disney, la technique aura tendance à se reposer sur ses lauriers pour la postologie en utilisant des effets qu’ILM (la filiale VFX de Lucasfilm) aura des années auparavant démocratisés. Mais la faute est maintenant rattrapée avec The Mandalorian de Jon Favreau. En effet l’équipe technique aura inventé un tout nouveau système qui émet une pertubation dans la force de fifty’industrie des VFX : fini les fonds verts, faites home au panneau LED !
Comme on le voit dans le making of (ci dessous), des écrans de 6 mètres de haut, de xx mètres de diagonal et incurvé à 270 degrés projettent directement les décors extra-terrestres sur le plateau ! Une nouvelle méthode immersive qui permet en plus de manipuler fifty’icon en temps réel et ainsi changer les décors comme bon nous semble ! De addition, les mouvements de caméra interagissent directement avec l’icon LED qui sec’adapte automatiquement pour respecter les perspectives et la spatialisation du décor.
Absolument rien (ou presque) n’est tourné en extérieur. Tout est falsifié, même les flous des optiques, grâce à des rendus ultra hard disk drive modélisés par le moteur graphique Unreal Engine de la société de développement de jeu vidéo Epic Games. De addition, les écrans LED font aussi part d’éclairages qui évoluent suivant le déplacement virtuel du décors, de quoi avoir une gestion de la lumière facilitée, addition cohérente et réaliste.
Et autant dire que le résultat est au rendez-vous. Les décors paraissent addition tangibles que bon nombre de blockbuster faits sur fond vert. Hal Hickel, superviseur de fifty’animation du show explique que fifty’écran “entoure complètement votre vision périphérique (…) Tu oublies rapidement que tu es dans un studio et que tu n’es pas sur la surface d’une planète. Tu le ressens comme un environnement en trois dimension qui t’englobe, parce que c’est un environnement en trois dimension.” Une véritable invention qui est le parfait compromis entre le pratique et le numérique. Un nouveau standard pour les effets spéciaux ? Le futur head le dira.